Coupe du Monde féminine. 1/8e de finale - France / Brésil 2-1

Après un parcours sans-faute en phase de poules avec trois victoires en autant de sorties mais des prestations loin d'être convaincantes dans le jeu, l'équipe de France rentrait dans le vif du sujet avec ce 1/8e de finale piège contre la Seleçao brésilienne, l'un des plus sérieux outsiders de ce tournoi.
Après un parcours sans-faute en phase de poules avec trois victoires en autant de sorties mais des prestations loin d'être convaincantes dans le jeu, l'équipe de France rentrait dans le vif du sujet avec ce 1/8e de finale piège contre la Seleçao brésilienne, l'un des plus sérieux outsiders de ce tournoi.
Pour cette affiche de prestige, le Stade Océane affichait guichets fermés avec pratiquement 24 000 spectateurs. Groupes de supporters spécialement dédiés aux Bleues, les France Ang'Elles ont assuré l'ambiance dans les travées de l'enceinte havraise en poussant leurs joueuses favorites pendant 120'.
Pour cette affiche de prestige, le Stade Océane affichait guichets fermés avec pratiquement 24 000 spectateurs. Groupes de supporters spécialement dédiés aux Bleues, les France Ang'Elles ont assuré l'ambiance dans les travées de l'enceinte havraise en poussant leurs joueuses favorites pendant 120'.
Un spectateur un peu particulier s'était glissé dans les tribunes du Stade Océane. Un enceinte havraise que l'actuel Premier ministre connaît particulièrement bien puisqu'avant d'occuper Matignon, Edouard Philippe était le maire de la cité portuaire entre 2010 et 2017.
Un spectateur un peu particulier s'était glissé dans les tribunes du Stade Océane. Un enceinte havraise que l'actuel Premier ministre connaît particulièrement bien puisqu'avant d'occuper Matignon, Edouard Philippe était le maire de la cité portuaire entre 2010 et 2017.
Et si on avait assisté à la dernière apparition de la Reine Marta (33 ans), qui crochète, ici, Elise Bussaglia, sous le maillot Auriverde. Elue à six reprises footballeuse de l'année par la FIFA, celle qui détient le record du nombre de buts marqués en Coupe du Monde, femmes et hommes confondus, avec 17 réalisations (dont deux sur cette édition 2019) pourrait prendre sa retraite internationale même si son sélectionneur Vadao a laissé entendre le contraire devant les médias.
Et si on avait assisté à la dernière apparition de la Reine Marta (33 ans), qui crochète, ici, Elise Bussaglia, sous le maillot Auriverde. Elue à six reprises footballeuse de l'année par la FIFA, celle qui détient le record du nombre de buts marqués en Coupe du Monde, femmes et hommes confondus, avec 17 réalisations (dont deux sur cette édition 2019) pourrait prendre sa retraite internationale même si son sélectionneur Vadao a laissé entendre le contraire devant les médias.
Dans les arrêts de jeu de la première mi-temps de la prolongation, les Bleues de Marion Torrent ont frôlé la catastrophe quand Debinha s'est présentée en face-à-face devant Sarah Bouhaddi. Heureusement pour l'équipe de France, Griedge Mbock a réalisé un retour un peu miraculeux quasiment sur sa ligne.
Dans les arrêts de jeu de la première mi-temps de la prolongation, les Bleues de Marion Torrent ont frôlé la catastrophe quand Debinha s'est présentée en face-à-face devant Sarah Bouhaddi. Heureusement pour l'équipe de France, Griedge Mbock a réalisé un retour un peu miraculeux quasiment sur sa ligne.
Sur un coup franc distillé par le pied gauche d'Amel Majri (sa quatrième assist dans cette compétition, éditions 2015 et 2019 confondues), Amandine Henry passe devant sa vis-à-vis, Mônica, avant de couper la trajectoire du ballon. Un but inscrit en prolongation (107') synonyme de quart de finale pour la France.
Sur un coup franc distillé par le pied gauche d'Amel Majri (sa quatrième assist dans cette compétition, éditions 2015 et 2019 confondues), Amandine Henry passe devant sa vis-à-vis, Mônica, avant de couper la trajectoire du ballon. Un but inscrit en prolongation (107') synonyme de quart de finale pour la France.
Mais où peut bien se cacher Amandine Henry ? Après son but, la capitaine de l'équipe de France a été ensevelie par ses coéquipières, ici, Amel Majri, Delphine Cascarino, Wendy Renard, Gaëtane Thiney. Preuve du soulagement que représente cette qualification au bout de la nuit.
Mais où peut bien se cacher Amandine Henry ? Après son but, la capitaine de l'équipe de France a été ensevelie par ses coéquipières, ici, Amel Majri, Delphine Cascarino, Wendy Renard, Gaëtane Thiney. Preuve du soulagement que représente cette qualification au bout de la nuit.
Toute la déception des Brésiliennes au coup de sifflet final. Loin de partir avec les faveurs des pronostics dans ce 1/8e de finale, la Seleção a pendant longtemps cru l'exploit possible en poussant en prolongation l'équipe de France.
Toute la déception des Brésiliennes au coup de sifflet final. Loin de partir avec les faveurs des pronostics dans ce 1/8e de finale, la Seleção a pendant longtemps cru l'exploit possible en poussant en prolongation l'équipe de France.
Bénéficiant d'un soutien sans faille pendant 120', les coéquipières d'Amandine Henry se sont offertes un clapping avec leurs supporters sur la pelouse du Stade Océane.
Bénéficiant d'un soutien sans faille pendant 120', les coéquipières d'Amandine Henry se sont offertes un clapping avec leurs supporters sur la pelouse du Stade Océane.
"C'est tendu, très tendu. On a tout donné, on n'a rien lâché et on les a eues à l'usure", a réagi la sélectionneuse Corinne Diacre, ici avec Gaëtane Thiney, après la qualification de son équipe en quart de finale.
"C'est tendu, très tendu. On a tout donné, on n'a rien lâché et on les a eues à l'usure", a réagi la sélectionneuse Corinne Diacre, ici avec Gaëtane Thiney, après la qualification de son équipe en quart de finale.
Après un parcours sans-faute en phase de poules avec trois victoires en autant de sorties mais des prestations loin d'être convaincantes dans le jeu, l'équipe de France rentrait dans le vif du sujet avec ce 1/8e de finale piège contre la Seleçao brésilienne, l'un des plus sérieux outsiders de ce tournoi. Pour cette affiche de prestige, le Stade Océane affichait guichets fermés avec pratiquement 24 000 spectateurs. Groupes de supporters spécialement dédiés aux Bleues, les France Ang'Elles ont assuré l'ambiance dans les travées de l'enceinte havraise en poussant leurs joueuses favorites pendant 120'. Un spectateur un peu particulier s'était glissé dans les tribunes du Stade Océane. Un enceinte havraise que l'actuel Premier ministre connaît particulièrement bien puisqu'avant d'occuper Matignon, Edouard Philippe était le maire de la cité portuaire entre 2010 et 2017. Et si on avait assisté à la dernière apparition de la Reine Marta (33 ans), qui crochète, ici, Elise Bussaglia, sous le maillot Auriverde. Elue à six reprises footballeuse de l'année par la FIFA, celle qui détient le record du nombre de buts marqués en Coupe du Monde, femmes et hommes confondus, avec 17 réalisations (dont deux sur cette édition 2019) pourrait prendre sa retraite internationale même si son sélectionneur Vadao a laissé entendre le contraire devant les médias. Dans les arrêts de jeu de la première mi-temps de la prolongation, les Bleues de Marion Torrent ont frôlé la catastrophe quand Debinha s'est présentée en face-à-face devant Sarah Bouhaddi. Heureusement pour l'équipe de France, Griedge Mbock a réalisé un retour un peu miraculeux quasiment sur sa ligne. Sur un coup franc distillé par le pied gauche d'Amel Majri (sa quatrième assist dans cette compétition, éditions 2015 et 2019 confondues), Amandine Henry passe devant sa vis-à-vis, Mônica, avant de couper la trajectoire du ballon. Un but inscrit en prolongation (107') synonyme de quart de finale pour la France. Mais où peut bien se cacher Amandine Henry ? Après son but, la capitaine de l'équipe de France a été ensevelie par ses coéquipières, ici, Amel Majri, Delphine Cascarino, Wendy Renard, Gaëtane Thiney. Preuve du soulagement que représente cette qualification au bout de la nuit. Toute la déception des Brésiliennes au coup de sifflet final. Loin de partir avec les faveurs des pronostics dans ce 1/8e de finale, la Seleção a pendant longtemps cru l'exploit possible en poussant en prolongation l'équipe de France. Bénéficiant d'un soutien sans faille pendant 120', les coéquipières d'Amandine Henry se sont offertes un clapping avec leurs supporters sur la pelouse du Stade Océane. "C'est tendu, très tendu. On a tout donné, on n'a rien lâché et on les a eues à l'usure", a réagi la sélectionneuse Corinne Diacre, ici avec Gaëtane Thiney, après la qualification de son équipe en quart de finale.
Partager sur :