
Participant au mouvement de grève nationale dans les stades français ce week-end, le MNK avait un message à adresser à la LFP et aux pouvoirs publics : "Les supporters ne sont pas des criminels".

Après 20' de mutisme, le kop caennais s'est réveillé de la plus belle des manières avec une pluie de confettis. Dommage que les joueurs normands ne lui aient pas emboîté le pas.

Victime d'une élongation aux ischio-jambiers pendant la préparation, Jonathan Gradit a fêté sa première apparition en Ligue 1 avec une place de titulaire en arrière droit.

Conséquence de la titularisation de Jonathan Gradit en latéral droit, le droitier Frédéric Guilbert a, lui, été aligné en arrière gauche alors que Fabien Mercadal dispose dans son effectif de trois spécialistes du poste.

La rentrée de Jessy Deminguet à l'heure de jeu à la place d'un Stef Peeters fantomatique a permis de dynamiser l'entrejeu caennais. Insuffisant pour permettre au Stade Malherbe de s'imposer.

Face à une lanterne rouge guingampaise parfaitement organisée en 5-3-2, Yacine Bammou, Alexander Djiku, Claudio Beauvue et les Caennais n'ont jamais trouvé la faille.

Pour ses retrouvailles avec son ancien club avec lequel il s'était révélé durant l'exercice 2014-2015, Claudio Beauvue est complètement passé à côté de son sujet.

D'une tête piquée suite à un corner de Stef Peeters, Prince Oniangué s'est procuré la meilleure opportunité du SMC mais la tentative de l'international congolais a été détournée par Etienne Didot sur sa ligne.

Fantomatique, Stef Peeters a une nouvelle fois gâché une opportunité de montrer qu'il avait le niveau de la Ligue 1.

Le plus souvent dos au but face à une défense bretonne regroupée, Enzo Crivelli n'est pas parvenu à exister.
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